sunrise

Elfe nackt beim waldbaden

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Dans un coin caché du monde, là où les ombres des vieilles forêts murmuraient des secrets et où l’air du matin caressait la peau comme un doux baiser, vivait une elfe à la beauté aussi fugace et envoûtante que la première rosée du jour. Lyria était son nom, et c’était une créature qui semblait rivaliser avec la grâce de la nature elle-même. Elle aimait que les premiers rayons du soleil du matin dansent doucement sur sa peau, chassant le souffle frais de la nuit et plongeant le monde dans une lueur chaude et dorée. Chaque matin, Lyria était attirée par le même endroit secret, caché dans les douces collines des vignobles, où veillait un chêne ancestral. L’arbre était le gardien silencieux des temps passés, son écorce noueuse marquée par les siècles, et ses branches tentaculaires créaient un toit protecteur au-dessus de la clairière. Non loin de là, une étroite passerelle serpentait à travers les hauts roseaux qui s’inclinaient au gré du vent, murmurant à chaque bruissement une promesse de calme et de sécurité. C’était un endroit qui semblait hors du temps, un refuge pour son âme, où la solitude n’était pas un fardeau, mais un cadeau. Ce matin-là, Lyria portait une robe faite d’un tissu très fin, si léger et si doux qu’il était comme un souffle sur sa peau. Elle épousait son corps, à peine plus qu’un voile qui se mettait à danser comme une aile à chaque pas que faisaient ses jambes fines. Les bretelles de la robe étaient brodées de minuscules fleurs qui semblaient si vivantes qu’on aurait dit qu’elles avaient été cueillies spécialement pour elle. Ses cheveux tombaient sur ses épaules en vagues douces et brillantes, scintillant comme de l’or en fusion aux premiers rayons du soleil. Elle marchait pieds nus, chaque contact avec le bois frais sous ses pieds étant un moment de communion avec la terre. Arrivée au vieux chêne, elle s’allongea doucement contre le tronc, le bout de ses doigts caressant l’écorce rugueuse, comme si elle sentait l’âme de l’arbre. Elle releva la tête, ferma les yeux et laissa le soleil caresser son visage. Le vent jouait avec sa robe, qui volait autour de son corps comme un papillon, et dans un moment de confiance totale, elle la laissa glisser de ses épaules. Elle se tenait là, nue, comme une partie de la nature elle-même – vulnérable et pourtant infiniment puissante. Sa peau brillait d’une lumière dorée, sa forme était un poème de lignes et de courbes, aussi parfait que la création elle-même. À cet instant, elle se sentait en harmonie avec tout ce qui l’entourait. Le souffle de la forêt devenait le sien, le murmure du vent était une caresse, et les battements de cœur de la terre résonnaient dans sa poitrine. Elle n’était pas un corps étranger dans ce paysage, mais une partie vivante de celui-ci, tout comme l’arbre, les roseaux, la rosée qui scintillait dans les premiers rayons. C’était comme si le monde avait retenu son souffle pour la contempler. Les oiseaux se sont tus, comme s’ils ne voulaient pas perturber ce moment, et même les feuilles semblaient s’arrêter pour écouter leur grâce. Un doux sourire étira ses lèvres alors que le temps semblait s’être arrêté pour un instant. Mais au fond d’elle, elle sentait que cette beauté fugace, ce silence délicat, ne durerait pas.

La lumière deviendrait bientôt plus crue, le jour ferait disparaître la magie du matin. Mais elle s’accrocha à ce moment, comme un contact qui ne devait jamais prendre fin. Avec une gracieuse sérénité, elle s’assit finalement sur le ponton, replia les jambes et saisit ses genoux, le regard perdu dans le lointain. Une pointe de mélancolie se lisait dans ses yeux, et pourtant elle était pleine de nostalgie. Peut-être, pensa-t-elle, était-ce cette solitude qui lui donnait des ailes – le sentiment qu’elle était ici, seule avec le monde, totalement libre. Et pourtant, elle sentit quelque chose dans l’air, un changement discret, presque imperceptible. Était-elle vraiment seule ? Un picotement inattendu parcourut sa peau, une promesse que peut-être un souhait qu’elle n’osait même pas formuler se réaliserait bientôt. Ses lèvres formèrent un sourire silencieux et elle ferma les yeux, prête à accueillir tout ce qui pourrait venir. Car ici, dans le silence, elle était vraiment vivante – et c’était merveilleux.